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 foutage de gueule mode #ON - simms and winthood

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Jen-Seth Winthood
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MessageSujet: foutage de gueule mode #ON - simms and winthood   foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood EmptyMer 23 Déc - 1:51

foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood 2eea92d foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood Hi42


Monday morning, qui n'a jamais eu de mal à se lever ce jour ci, surtout après un weekend bien chargé: entre alcool, soirée, prise de tête, rire, délire, musique et mecs, on pas vraiment la tête à aller en cours le lundi matin quoi. Sauf qu'avec Jen, c'était pas "un" lundi matin qu'elle n'arrivait pas à se lever, c'était tout le temps, alors pas la peine de s'étonner si les retards s'enchaine. Mais et puis merde, quoi de plus important que le sommeil après tout ? Vous n'êtes pas d'accord. Ah, dormir, toujours et encore. Puis le réveil sonne et à se même moment toutes les insultes de la terre circulent et bouscule dans notre tête contre ce putain de merde de réveil. Ben quoi ?! Qui n'a jamais pensé de mal d'un réveil qui retendit une chanson qu'on déteste à six heures du mat', sachant, que l'on s'est couchée à une heure la veille. Enfin bref, ce matin là, ce n'était pas des insultes que Jen avait envie de crier à son réveil. Non non, ça seul envie à ce moment était de prendre une batte de baseball histoire de faire un "home-run" avec ce truc à la con. Dix minutes plus tard, elle prit son courage à deux mains pour se lever et filer directement sous la douche. En parlant de douche le matin, qui a osait dire que c'était censé réveiller ? Parce que je sais pas pour vous, mais ça agit plutôt dans le sens contraire à vrai dire. "La tête dans le cul, le cul dans le brouillard" Jen-S se coiffa, s'habilla et se maquilla comme à sa grande habitude. Aujourd'hui c'était les cheveux légèrement ondulé et maquillage des moins superficiels: un petit coup de crayon, du mascara et un légèrement de phare à paupière. Elle mit quelques affaires de cours dans son sacs à main avant de quitter sa chambre pour sa salle de math.

Ah ces maths, avouons, matière passionnante. C'est vrai, tous ces "x" et "y" dans chaque calculs, ainsi que tous ces maintes théorèmes, de Thalès à Pythagore (des plus connus). Vraiment, que de passion, surtout et rappelons le, le lundi matin. Arf, à dormir debout. Et dire que tout ce que marmonne ce laborieux prof depuis le début de l'année allé nous servir enfaite à... rien du tout ! Sans compté que ce matin là, elle en avait deux heures. Deux bonnes heures, uhm, un délice vous dis-je, un délice ! « Bon vous allez me résoudre ça et encore... Euh, mademoiselle Winthood, vous êtes toujours avec nous, ou se serait trop indiscret de vous demandez sur quoi se perde vos pensées ? » Mais Jen, elle t'emmerde mon grand. Ses pensées c'est sur toi asphyxiant dans une tombe plongée sous deux mètre de terre qu'elles se perdent ! Non mais franchement pour qui il se prenait quoi ?! M'enfin, c'est au moment même ou Jen ouvrit la bouche pour soulever quelques mots que la coche tant aimée retentit de sa magnifique sonnerie. Jen était bien le genre de fille qui dort en cours mais qui se réveil des plus rapidement quand la sonnerie retentit pour arriver en fin de compte la première dehors.

C'était l'heure de la pause à présent. Cette pause en plein milieu de la matinée, tout le monde connais, c'est la récrée quoi ! Quoi de mieux que de changer les idées autours d'une petite cigarette et d'un grand bol d'air frai. Direction le petit parc. Jen y avait là son petit banc attitré, enfin celui à l'élite quoi. Les gens qui osent s'y aventurer n'y restent pas longtemps c'est moi qui vous le dit. En parlant de ça, elle pu y apercevoir assis, tranquillement, une petite garce brune devant surement pas se prendre pour de la merde. Ah ah, enfin un peu de remous dans sa journée. Alors, une claque directe ou un bon remballage public ? Va pour le remballage. JS se plaça devant la grande brune la dévisageant d'un regard frappeur. « Et chérie, ce banc n'accueille pas les vaches, alors retourne dans ta ferme si tu veux pas qu'je fasse de toi un steak ! Allez j'vais pas me répéter deux fois. BOUGES ton cul d'ici !» Et la garce s'en alla sur un lever de l'index en direction de JS qui ne put s'empêcher de lui lâcher un grand sourire victorieux avant de s'installer. Assise sur le dossier et se roula une cigarette avant de l'allumer et bien sûre, de la fumer. JS fumerait-elle ? Depuis bien longtemps mes cocos. Les temps changent, aujourd'hui la plus part des étudiants fument de toute manière, et même si c'est un piège à fric - j'avoue - c'est distrayant de tirer, respirer puis expirer, vous ne trouvez pas ? Puis, ça change les idées quoi.

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MessageSujet: Re: foutage de gueule mode #ON - simms and winthood   foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood EmptyMer 23 Déc - 22:02

foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood 2nghldj foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood 090808101327539894218838

    ▬ I kissed a girl, i likes it; the taste of her cherry chapstick. I kissed a girl just to try(...)y it, i hope my boyfriend don’t mind it. Son réveil affichait à peine 7heures que la jeune femme était d’une humeur débordante. Il se mit à sonner, et pour la première fois de toute son existence, elle n’eut absolument pas envie de le jeter par terre et de pousser sa gueulante. La radio se mit donc en route, et comme par hasard (et bien oui !) ça tomba sur du Katy Perry, non pas que la jeune femme appréciait cette chanson, mais elle aimait tant bien que mal être réveillée par ce genre de musique –enfin musique faut pas aller chercher trop loin, surtout si on commence à traduire les paroles de cette putain de chanson enfin peu importe. Le principal étant tout de même, que ce début d’air entrainant la mettait de suite sur de bonnes bases pour passer une bonne journée. La voilà donc, debout sur son lit, entrain de sauter partout dans sa tenue légèrement courte –genre short et débardeur dix fois trop petit. Les lundis matins étaient souvent difficiles, mais les statistiques le prouvent, moins tu dors la nuit, moins t’as de problème pour te réveiller. La preuve, la jeune femme s’était couchée à trois heures du matin, et oui, elle avait fêté comme il se doit l’anniversaire de son cousin, au bar du coin – et elle était en pleine forme, enfin soit dit-en passant, les statistiques démontrent aussi, que la jeune femme va avoir son coup de fatigue dans quelques heures à peine ; mais qu’es-ce qu’on en a à battre ? On les encule tous les statistiqueurs ! Non mais enfin ! *baf* Un qui avait un peu déchanté à sa bonne humeur était bien son colocataire, oui, oui on parle bien du même, Darren. Il avait commencé par lui dire gentiment, mais celle-ci insistant, il avait fini par prendre le premier objet à sa portée de main, et lui balancer en pleine gueule. ▬ Hum j’en fais quoi de ton caleçon maintenant ? Manque de bol, il avait prit le pire truc qu’il pouvait prendre –putain comment cette phrase elle est mal tournée- son caleçon qui trainait au pied de son lit. Il n’eut pas beaucoup de peine à se rendormir, mais Paris pouvait en être sure, elle allait en entendre parler ce soir. Fitepunaise, valait mieux pas qu’elle rentre finalement. Brefons, la jeune femme sortit de la douche, s’habilla, se coiffa, et se chaussa. Elle avait gardé son maquillage de la veille, je vous l’accorde, ça n’était pas nickel, et alors ? Croyez moi bien, c’était tout de même bien plus que « potable » pour que la jeune femme le garde ainsi. Elle prit pour finir son sac à main, son paquet de Marlboro, et son gloss, et partit à l’université enfin. Oui elle allait être en retard. Oui elle le savait.

      Spoiler:


    La jeune femme arriva donc en cours ; elle avait science de la vie et de la terre pendant deux heures. A se demander pourquoi elle y allait ? La réponse est simple, pour mater les fesses de son professeur. La trentaine, avec un petit air du mec sûr de lui, et avec un cul sii(..)ii sexy. La plupart du temps, il se retrouvait dos à la jeune femme –ben oui fallait bien qu’il écrire des trucs sur son tableau en craie- alors c’était sans peine qu’elle pouvait les admirer. Cependant la journée commençait mal, avec seulement deux petites minutes de retard, il lui prit la tête alors qu’à l’habitude on pouvait arriver à n’importe quelle heure, la porte était grande ouverte. Non mais c’est sûr, il n’avait pas pris sa dose ce matin, Paris lui en aurait bien proposé, mais elle en avait pas sur elle, alors sans plus broncher elle alla s’asseoir. Les deux heures furent très longues, mais la sonnerie retentit enfin. La jeune femme fut dans les premières à sortir –y’avais pas trop de concurrence, à vrai dire elle en faisait pas tout un plat, enfin là faut que j’arrête je dis vraiment n’importe quoi. Elle sortit donc du bâtiment, et repéra Jen au loin, entrain de faire tout un pitch à une autre nana, Paris ricana en elle ; et se dépêcha de la rejoindre. ▬ WINTHO(..)OD ; Paris eut un moment de réflexion puis enchaîna un peu moins fort. ▬ Pourquoi tout le monde nous regarde ? Paris arqua un sourcil, non pas que ça lui déplaise, au contraire mais bon, s’il fallait leur apprendre la discrétion, elle allait pouvoir le faire. ▬ Bon chérie, Je t’ai attendu hier soir à la fête…
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MessageSujet: Re: foutage de gueule mode #ON - simms and winthood   foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood EmptyJeu 24 Déc - 17:19


    Ah l'air pure du parc, que de bonheur. Les cheveux dans le vent, l'air pollué de la cigarette dans le nez, à c'était tellement parfait. C'est là que tes pensées se libères, se disperses, et se perdent dans n'importe quoi et sur n'importe qui. Comme sur la pouf qui était entrain de se dandiner sur le chemin de galet, essayant de dévisager les plus jeunes - ben ouais, parce qu'elle se croit assez vieille et classe pour les regarder de haut. Oh lala, les gens et leur confiance en eux, on aurait juste envie les rabaisser, mais à un point, qu'ils n'osent même plus se regarder dans une glace sans avoir peur qu'elle ne se brise ! Non mais franchement, les gens comme ça, c'est deux bonnes claques de quoi les remettre en place. Enfin bref, arrêtons-nous donc de nous perdre sur des espèces humaines de cette sorte qui ne mérite même pas qu'on y pense enfaite. Jen n'eut à peine le temps de se faire une critique intérieur de cette personne qu'une petite bouille blonde vint "gâcher" son paysage -han je lol! une bouille comme ça, ça ne peut que l'embellir, j'avoue. « WINTHO(..)OD » Ah mais voilà qui voilà INSPECTEUR GADGET ! uhuh désolé. Mais c'était Paris, mademoiselle Paris, s'il vous plais. Belle blonde, bien foutu qui avait tout bonnement le style dans la peau. Pas besoin de faire un dessin pour vous dire qu'elle aussi étant dans l'élite, les deux d'moiselles s'entendaient, mais à merveille. Sourire avec un brin de folie, hum, c'était le bonheur de passer un moment compagnie de blondinette, un bonheur vous dis-je ! « ARFF salut belle blonde. » lança Jen dans un ton légèrement grave, imitant à moitié une voix rugueuse et lourde du genre d'un fan de pmu emportant toujours sa bouteille de bibine quand il fait trois pas. «Pourquoi tout le monde nous regarde ?» On se demande.. Jen ne put s'empêcher de lâcher un sourire amusé avant de jouer le jeu tel que sherlock holmes entrain de résoudre un mystère. Elle fronça les sourcils, plissant les yeux, serrant les lèvres tout en hochant la tête - qui à dit qu'une femme était capable de ne faire qu'une chose à la fois ? Ahah !« Ils ont jamais vu de belle fille de leur vie, faut pas leur en vouloir...Allée chérie, pose tes fesses. » Elle tapota la place juste à côté d'elle pour que Simms s'y assoit.

    Jen aspira une dernière fois ce si bon air que rejette cette petite cigarette avant de la balancer quelques parts dans l'herbe - Bah quoi, y'avais pas de poubelle !« Bon chérie, Je t’ai attendu hier soir à la fête… » La fête ? Qu'elle fête ? Vous voyiez, ça c'est la super contrainte de faire partie de l'élite: on est populaire, okay, tout le monde nous connait, okay, et tout ça, ça fait qu'on est invité à tellement de trucs en même temps qu'on ne sait plus où se donner de la tête. En tout cas, hier soir, c'était à la soirée qu'avait organisé l'ami d'un ami à justement l'ami de son ami où Jen c'était retrouvée. Son nom déjà à cet.. ami ? Aucune idée. Hier soir elle était bien trop occupé à autre chose de savoir par qui elle avait était convié: alcool, mec, musique, encore plus de mecs, quelques cris et pour finir, se faire ramener par Sam (celui qui conduit c'est celui qui ne boit pas, ouais et surtout celui qui s'emmerde tellement qu'il veut déjà qu'on rentre à une heure d'une mat') Tout pour dire que le Sam de hier soir, il était chié ! Elle serait restée bien plus longtemps, mais elle n'allait tout de même pas rester plus longtemps sachant que les seuls personnes pouvant la ramener ensuite allait l'empaler forcément contre un arbre ou virer tout droit dans un fossé, donc, le choix est vite fait. Enfin, en pour en revenir au sujet primordiale, elle n'avait pas croisée Paris à cette soirée (ce qui aurait normalement était d'une totale impossibilité, les filles comme ça, ça se remarque automatiquement!) « Hum, qu'elle fête ? » Oh la pauvre, elle à du attendre longtemps, très longtemps, mais allée, pas tant que ça, je suis sûre.

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MessageSujet: Re: foutage de gueule mode #ON - simms and winthood   foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood EmptyVen 25 Déc - 1:55

    Jen. Ralala c’était la chef de l’élite, la fille parfaite et enviée de tous. C’était aussi la meilleure amie de Paris. Elles se ressemblaient sur tous les points –oui d’accord appart peut-être la couleur de cheveux. Elles étaient toutes deux comme sœurs, elles avaient entretenues une relation très proche, et sont devenues inséparables. Enfin ; ça leur arrivent quand même régulièrement de ne pas passer la soirée ensemble, ou d’être à deux endroits différents en même temps –muahaha comment ça ce n’est pas possible ? xD Enfin Paris appréciait énormément Jen-Seth, et elle savait que c’était réciproque. Toutes deux elles pouvaient compter l’une sur l’autre, mais le pire étant tout de même, qu’ensemble, elles n’arrêtent pas de faire des conneries. Leur passe temps favori ? Descendre quiconque qui passera sur leur chemin, ou encore aller ridiculiser une pauvre étudiante qui n’a rien demandé à personne, juste pour leur plaisir personnel. Attendez, ce n’est pas pour rien qu’on les surnomme de garce, elles le sont, elles assument, elles le disent, elles le font. Les coups bas, la violence, tout est permis… mais seulement avec les intrus –autrement dit, les nanas qui ne font pas partie de l’élite. Okay là on parle des « girls » mais y’a tout autant de boys sur qui on peut bien rigoler pendant des heures. Les intellos, les fils à papa etc. Croyez-moi on ne s’ennui jamais avec deux élites –et surtout quand c’est le duo de choc Jen-Paris. MAMAMIYA. — Non mais sans blague, tous les jours ils nous croisent, ils devraient être habitués à force. La jeune femme haussa les épaules, c’est vrai qu’elle ne se prenait pas pour de la merde, mais en même temps, elle avait bien raison, ou pas d’ailleurs. Paris s’installa à côté de Jen, comme celle-ci lui indiqua gentiment. Elle regarda autour d’elle, ayé elle cherchait déjà la nouvelle proie à abattre. — Devines qui je croise avec un joint à la bouche hier soir ? Paris s’arrêta… oui parce qu’elle voulait laisser le suspens –prononcé à la Gad forcément hein- s’installer. Mais elle enchaîna très vite, sans même que la jolie brune ne puisse renchérir quoi que ce soit. — Leaticia. Tu sais la nana qui se promène jamais sans ses livres de mathématiques, la pucelle du groupe « time nana ». Paris ricana avec Jen, ce groupe était tellement minable, qu’elle n’osait prononcer le nom. — Elle m’a faite de la peine, j’étais à deux doigts de lui expliquer comme le rouler !! Oui pour un énième foutage de gueule. Y’a pas de mal n’est-ce pas ? Les potins, encore des potins, toujours des potins. Faut bien occuper ses après-midi, et honnêtement, y’a pas plus commère que ces deux là –y’a pas plus rien que ces deux là toute manière. *baf*

    Paris avait passé la soirée en boîte de nuit, là où son cousin fêté ses vingt ans. Elle n’y était pas vraiment allé pour lui, mais ne louper que très rarement les soirées de ce genre. Elle avait eut le choix, puisqu’en effet ; une autre soirée lui avait été proposé, mais jetant un coup d’œil à la liste d’invité, elle avait choisis l’option, je vais m’éclater en boîte –et chérir mon cher cousin d’amour –ou pas aussi. — je n’aurais jamais cru pouvoir être clean ce matin. La jeune femme lui fit un clin d’œil, ça voulait tout dire, en même temps, ce n’est pas le genre de soirée où tu restes dans ton coin sans prendre un seul verre –enfin si pour Leaticia, mais merci pour la comparaison hein. — J’aurais juste aimé que tu m’accompagnes quand j’ai commencé à me dandiner sur le bar. Paris était presque entrain de se moquer d’elle-même, oui parce que ça elle ne s’en rappelle plus, on lui a raconté, et vu ce qu’on a dit, c’était du gros bordel, non pas qu’elle n’est pas attiré la foule, parce que ça pour le coup, y’avais plus d’une cinquantaine d’homme baveux à ses pieds, mais disons, qu’elle était dans un état tellement atroce, qu’on a été obligé de l’enlever de force.
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MessageSujet: Re: foutage de gueule mode #ON - simms and winthood   foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood EmptyMar 5 Jan - 21:59

    Et dire que bientôt la sonnerie allée à nouveau retentir. Ce magnifique son allait tout droit se transformer en bruit strident et repoussant. BAWA mais pourquoi ?! Han les cours, plus envie, mais du tout. Surtout histoire, ou mon dieu l'histoire: avec ce prof plus vieux que la terre, qui à la barbe qui lui descend jusqu'aux fesses où l'on peut y trouver une multitudes de restes de tout ce qu'il a pu manger ces quatorze dernières semaines. Et son, haleine, d'où jésus, son halène à nous faire pourrir sur place, han, Jen en coule des yeux d'avance. De plus, Jen s'étant fait déplacé - elle s'était amusée avec je ne sais qui à tirer des boules de colle sur l'intellectuelle de la classe, c'est JS ça - elle s'était retrouvée au premier rang, devant son bureau. Uhm, un bonheur, sans compter que c'est les deux heures juste avant le repas, APPÉTISSANT ! Han, si seulement l'université pouvait prendre feu. Si seulement ! Mais allez, arrêtons de penser du mal, c'est pas bien. Bref, il faut que j'arrête de partir dans des sujets totalement, ben, hors sujet quoi. De quoi parlez déjà les deux petits anges ? Ah oui, du pourquoi du comment tout le mondes les regardait. Franchement, y'a même pas à se poser trop de questions de toute manière, la réponse, toutes les deux la savait déjà depuis bien longtemps, juste histoire de se lancer dans un petit délire je suppose, et ce petit délire justement reflétait exactement la complicité grandissante de deux jeunes femmes. En effet, c'était tous elles: partirent de rien pour finir sur beaucoup trop. Bon maintenant et pour de bon, revenons dans le sujet - sinon la petite Paris elle va lire tout pleins de trucs qui vont enfaite servir à que dalle - « Non mais sans blague, tous les jours ils nous croisent, ils devraient être habitués à force. » Ah les gens et leurs curiosité implacable, c'est bien les étudients tout ça. Le moindre fait de travers ou signe inhabituel et on vous regarde de travers. C'est bien à ce genre de personne qu'on a envie de coller un "fuck" en pleine gueule, quoique, ils nous regardent, mais qu'est-ce qu'on en a vraiment à foutre quoi ?! Surtout que Jen est plutôt une fille.. exhibitionniste et très extravertie donc qu'on la regarde y'a rien de dérangeant, mais qu'on la dévisage, uhm uhm, prépare toi à une claque en pleine face. « C'est qu'une bande de jaloux envieux qui sont simplement entrain de nous chercher un minuscule petit défaut à cracher à hidden face. Mais moi, JE LES EMMERDE les gens comme ça. » Little Jen avait exprès d'augmenter le son de sa voix vers la dernière partie de sa réplique tout en regardant la petite bande de geek qui les relookait depuis toute à l'heure un léger sourire narquois sur ses lèvres d'ange. Ah cette Jen, qu'est-ce qu'elle aime mettre les gens qu'elle n'aime pas mal à l'aise.

    Enfin bref, laissons les geeks dans leur monde tout pourris et concentrons nous sur le monde qui vaut la peine d'être cité. Revenons en à .. la fête du jour qui précédait celui ci. « Devines qui je croise avec un joint à la bouche hier soir ?» Cool une devinette ! Non mais celle ci n'avait vraiment aucune chance d'être résolue, avec tous les gens insoupçonnable de consommer de l'alcool comme les saintes vierges de pucelles, ou encore ces intellos qui se baladent sans cesse avec un balais dans le cul et qui sont saoule à la moindre goutte d'alcool ingurgité. Enfin bref, elle haussa les épaules airs de rien attendant la réponse de la belle blonde. Leaticia. «Tu sais la nana qui se promène jamais sans ses livres de mathématiques, la pucelle du groupe « time nana » Et là, c'est la bouche touchant le sol, les gros yeux qui allaient pratiquement lui sortir de la tête et le visage aussi mort que figé. Han je lol, ok, elle était choqué mais pas à se point, n'abusons pas ! Elle haussa un de ses sourcils sous une tête totalement dégoutée. Et oui, elle était dégoutée, dégoutée que se soit ce genre, celles qui se disent aussi pucelle, droite et sainte que justement la sainte vierge ! Han, ça donnerai presque des envies de meurtres. Et après c'est ce même genre de nana qui vous font la morale se disant valoir mieux que vous. Bawa, encore plus envie de meurtre.« Oh, mais c'est que l'intello se rebelle. Putain, mais qu'est-ce que certaines ne ferait pas pour se faire voir!» Enfin si Jen avait était à la fête, cette Leaticia aurait bien plus qu'une distraction durant la soirée, sa aurait son punching-ball attitrée. Puis déjà, qu'est-ce qu'une fille comme ça faisait à une fête, étonnant qu'elle ne se soit pas fait dégagé rien qu'à l'entrée. Enfin bon. « je n’aurais jamais cru pouvoir être clean ce matin. » Et c'est Paris qui disait ça, c'est PARIS ! Bawa, ça devait être de la soirée ça. Encore une fête que JS a vue défilé juste devait elle. Han, comment qu'elle regrette, bien qu'elle ne se soit pas pour autant fait à la soirée où elle était mais.. Mais, celle où Paris était.. ça devait mais déchirer grave de ouf quoi ! « Tellement que ça ?! » JS était juste entrain d'imaginer les litres d'alcools que la blondinette avaient du engloutir ce soir là, sans parlé des petits trucs pas net qu'elle avait du respirer. Pour en conclure qu'elle n'avait pas du s'arrêter à deux, mais après tout, Paris, c'est Paris quoi ! « J’aurais juste aimé que tu m’accompagnes quand j’ai commencé à me dandiner sur le bar. » Et ouais, ça devait être de la soirée tout ça. Imaginez juste une belle blonde dansant sur le bars avec une horde de mec bavant jusqu'au sol, Paris ne devait pas se sentir si seule que ça se soir là après tout. Jen lui tacha un petit sourire. Si elle lui avait demandé, c'est sûre Jen aurait était de la partie. Se trémousser devant tout le monde, c'était excitant et tellement agréable d'avoir tous les regards baveux tendus sur vous, surtout quand l'on partage un moment comme ça avec une bonne amie. « Oh j'ai louper quelque chose là, pourquoi tu m'as pas appeler ma grande folle ! »

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MessageSujet: Re: foutage de gueule mode #ON - simms and winthood   foutage de gueule mode #ON -   simms and winthood EmptyMar 12 Jan - 17:27

    Paris et l’université c’était une grande histoire… de tous les temps –non, non pas d’amour, enfin où alors un amour très caché, enterré plus bas que terre, dans les roches des volcans. Non d’ailleurs un amour n’était pas plausible, ben oui, parfois ça marche –enfin très rarement faut dire, le terme d’amour est vaste, et négligeable fasse à celui de la rancœur- enfin donc, le plus souvent ça ne marche pas, et bien là, c’est le cas, l’union ne passe absolument pas. Paris n’accepte pas les règles, n’accepte pas qu’on soit supérieur à elle et n’accepte encore moins de devoir fournir du travail en plus de se faire chier plus de six heures par semaine à suivre des cours dans chaque matière, et notamment en physique chimie. Bon elle y va bien parce que son professeur est particulièrement sexy, et qu’elle s’est promis de lui décrocher un rendez-vous avant la fin de l’année, mais pour être franc, qu’es-ce qu’elle en a à foutre de toutes ses formules, d’équation, de forces ou encore même de solution ?! D’accord, on apprend par exemple que l’azote mélangé à une autre matière chimique (je ne sais même plus le nom tellement y’a de chiffre) ne réagit pas. Wooooa et après ?! Non parce que bon, c’est peut-être moi ma foi, mais j’ai encore jamais vu quelqu’un dans la rue, dans la vie de tous les jours sortir : « Ah au faite, l’azote avec le diioxyde ça ne réagit pas ! » Non mais y’a bien que les scientifiques qui font ça, rassurez-moi là, tu t’es déjà re-servie de ça dans ta vie toi ? Oui je préfère. Brefons, c’était le coup de gueule du matin. Oublions tout ça xD. Non franchement, c’est abusé, c’est pourquoi Paris ne fait pas ses devoirs. C’est vrai qu’elle a la chance d’avoir des facilités, m’enfin bon ça n’est pas la raison majeure. Elle ne respecte pas les règles non plus, et admet encore moins qu’un professeur soit supérieur à elle. De toute manière, dans cette établissement, elle est « en sécurité », vu la place de ses chers parents, elle ne risque pas grand-chose, ils ont les arguments en main pour qu’elle reste dans cette université, et croyez moi bien, Paris en use beaucoup. « Minuscule défaut ? Hahaha chérie, ils peuvent toujours chercher, tout le monde sait qu’on est parfaite voyons. » Un élan de modestie ne ferait pas de mal à la jolie blonde. Oui ben quoi ? C’est vrai, JS tout autant que Paris sont de parfaite demoiselle, et personne ne dira le contraire –ou alors ça risque de mal finir pour lui. *baaf*

    Paris croisa ses jambes à présent sur le banc, JS c’est… l’élite de son groupe, c’est aussi… la fille parfaite, mais aussi, et surtout… la meilleure amie de Paris ; celle avec qui elle se tapait des barres sans arrêt, celle avec qui elle fumait des joints jusqu’à sans péter la gueule, celle avec qui elle faisait toutes les conneries possible et imaginable dans l’université, et pas que d’ailleurs ! Celle avec qui elle va toujours à des soirées –ou presque toujours. Et enfin celle avec qui elle fait du shopping tous les samedis. Mais JS c’est aussi… sa confidente, son double, son tout. (Oh c’est beau non ? ZBAF) Enfin, tout ça pour dire que Paris tenait à JS, en effet c’est réciproque, et elles se complètent, enfin se rajoutent plutôt mais bon peu importe, elles s’entendent à merveille –et bien plus que ça si vous saviez… « Bon après, je te passe les détails hein… mais y’avais un mec plutôt louche qui lui disait des mots doux dans l’oreille. Certainement son dealer ! » Oh la scène culte des commères qui commencent à partir en vrille et dire n’importe quoi. Un dealer ? Et puis quoi encore, tu vas pas non plus dire qu’elle baise avec lui si ?! Non parce que de passer de la pucelle à la jebaiseetj’aimeça y’a quand même une marge non ?! Paris ne voit pas la marge justement, et puis pour tout dire elle s’en fou royalement, de cette fille comme de tous les autres trucs. Sii siii elle s’en fou. Surtout de toi, toi qui est entrain de me mater en douce ! PERVERS ! (oulalala, faut que j’arrête de partir comme ça, ça ne va pas du tout…)

    La fameuse fête… bon Paris ne lui en voulait pas trop, toute manière, elle sait pertinemment que des fêtes dans ce genre, ce n’était pas la dernière –oh que non surement pas, mais ce n’était pas non plus la première. Cependant, il est vrai que Paris ne comprit pas tout sur le moment, après deux coupes de cocktail, elle était déjà shootée pour la soirée, et pourtant, seulement deux verres… « Avec seulement de verre de cocktail…t'imagines chérie ?! » C’est vrai, elle était effarée, et dégoutée à la fois, parce que son but dans les soirées, n’est pas vraiment de se foutre dans un état pitoyable, et laisser tout le monde profiter de toi –en particulier les mecs quoi- loin de là, au contraire, en soirée, elle préfère largement être lucide, et elle peut tout autant s’amuser, mais ces soirées là se font très rare… malheureuse. « Mais j’ai appris le lendemain, que dans ce mélange il y avait deux trois goutte de jus de pomme, le reste était du rhum pure, et de la vodka. Merci bien. » Enfin cela ne changeait rien à la conclusion, Paris ne tenait absolument pas l’alcool, et pourtant, elle n’arrêtait pas d’en boire, soi disant, plus tu es habitué, plus tu tiens bien. Va falloir qu’elle en fasse des soirées alors. (*out*). Paris baissa la tête euh… pourquoi ne pas avoir appelé JS, elle aurait vraiment voulu –oh que oui, parce que Paris sans JS à une fête, ralalala, c’est comme Paris Hilton, sans son chihuahua quoi, et c’est un compliment. « Disons que… mon portable a atterrit dans les chiottes –je n’ai aucune idée du comment et pourquoi… alors me demande pas stp » Hahaahha, elle était déjà bien bourrée en ce début de soirée…

    Désolée, c'est vraiment pourri, j'ai vraiment honte c'te fois-ci... Rolling Eyes
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