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 Martine à la plage | Paris

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Zadig E. Lawford

Zadig E. Lawford



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MessageSujet: Martine à la plage | Paris   Martine à la plage | Paris EmptySam 2 Jan - 21:19

Martine à la plage | Paris KB193 Martine à la plage | Paris Chris-Pine-chris-pine-6037813-100-100

    La plage, un endroit calme, ou pas, que les étudiants aiment beaucoup. Pourquoi, c’est une question que se pose Zadig depuis son arrivé dans la ville. La plage est un endroit salle, pleins de bouteille de whisky, de paquet de cigarette et de sachets vide ou on peut supposer que se trouvait des substances illicites. Le sable, arg, le sable, lorsque vous êtes pieds nul et que vos pieds sont mouillés, le sable ne vous lâche plus, il tombe amoureux de vous, et ne veux plus vous quittez. C’est dingue. Mais aujourd’hui, jour de soleil, légèrement camouflé par des nuages qui couvriront bientôt le ciel et laissera couler de la pluie – Zadig, mister météo, tient, c’est une bonne idée pour l’avenir, Zadig voulait aller voir ce qu’ils aimaient tant, les autres. Pour se sentir, pour une fois, comme les autres. Car oui, encore aujourd’hui, Zadig ne se sent pas intégré dans la société. Les gens le prennent pour un fou, et on peur de l’approcher. Franchement, je ne vois pas pourquoi. C’est une personne normale après tout. Il est comme vous et moi. Enfin, comme moi, car avouons le, vous n’êtes pas normaux. Arrêtez de vous mentir.

    Une journée qui allait mal commencer. Pourquoi ? Tout simplement parce que c’est un dimanche, et que le dimanche, il n’y a rien à faire. En tout cas, Zadig n’avait rien à faire. Les autres étudiants eux, aller faire la fête, se droguer, boire, enfin, journée banale pour eux. Mais le jeune homme n’était pas du même monde qu’eux. Même si il adore faire la fête, mais, pas du genre à se lever le lendemain avec une migraine pas possible le matin avec pour cause gueule de bois. Le jeune homme se réveilla à cinq heures du matin, heure à laquelle certains de ses camarades sont rentrés de boite et ont fait un bruit pas possible. Heureusement, il a l’habitude, et qu’il est plutôt cool comme garçon sur se genre de chose. Il se leva donc et pris une bonne douche chaude. Zadig avait déjà prévu sa journée. Il voulait aller à la plage pour voir, comme je l’ai dit tout à l’heure, ce que les autres élèves ressentent. Mais pas maintenant. Le jeune homme sorti de la douche, et enroula une serviette à sa taille. Le gros avantage qu’il y a d’être seul dans une chambre, c’est qu’il peut se pavaner dans sa chambre en serviette, sans que personne ne fasse de réflexion. Le jeune homme se dirigea vers son ordinateur et tapota sur les touches à une vitesse qui surprend sa mère, femme préhistorique. Oui, toutes les personnes qui ont un ordinateur tapotent vite maintenant.

    Après quelques heures passées devant son ordinateur, il décida de s’habiller. Il enfila un jeans et une chemise noire, simple. Il mit environ dix minutes à enfiler ses vêtements et terminer sa toilette par un lavement du visage et des dents, et bien sur, il coiffa sa magnifique crinière. Heureusement que le jeune homme n’a pas de colocataire, car avec le temps qu’il passe dans la salle de bain, il ne s’entendrait jamais. C’était astucieux de prendre une chambre seul. Zadig sortie de sa chambre qu’il ferma à clef et en quelques minutes, il se retrouva sur la plage. L’odeur de cette eau salé était désagréable – Oui, Zadig est quelqu’un de gentil, mais de chiant aussi. Le jeune homme s’installa sur le sable. Bah oui, il était obligé, il n’allait pas apporter un siège pliable pour ne pas se salir les fesses. Non, il fallait qu’il se mette dans la peau d’un étudiant. Un vrai. Un qui aime la sensation du sable entre ses orteils. Mais bon, pas question d’enlever les chaussures pour lui aujourd’hui, il n’était pas près à sauter se grand pas – à parler comme ça, on à l’impression qu’il a peur de la plage.

    Après quelques minutes de … tranquillité, Zadig aperçu une silhouette pas très loin de lui qui se rapprocher doucement. Le jeune homme fit un large sourire. Le temps que cette personne arrive à lui, il regarda le monde qu’il y avait sur la plage. Il y en avait dans l’eau, bon, j’avoue, elle n’avait pas l’air si froide à les voir. D’autres étaient allongé sur une serviette… Paris s’approchait de plus en plus. Il attendait qu’elle soit juste à côté de lui pour qu’elle entende, et cria, suffisamment fort pour que tout le monde sur la plage l’entende.

    " Non ! Madame, pas la peine d’insister. Je vous ais déjà dit que je ne voulais pas faire l’amour avec vous. "

    Comment foutre la honte en une leçon avec comme professeur Zadig. Il fit un large sourire à Paris. Ils avaient pris l’habitude de se lancer des vannes et de ridiculiser l’autre. C’était un jeu marrant.
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Paris A. Simms

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Martine à la plage | Paris Empty
MessageSujet: Re: Martine à la plage | Paris   Martine à la plage | Paris EmptyDim 3 Jan - 15:47

    Il était midi passé quand la jeune femme se réveilla –enfin se réveilla était un bien grand mot, c’était son putain de colocataire qui avait eu la merveilleuse idée d’ouvrir les volets de chambre (autant vous dire qu’il l’avait bien fait exprès, car aujourd’hui, il y avait du soleil à plein temps) soi-disant, le beau temps lui manquait, et qu’il n’y voyait rien dans cette piaule. Il n’avait qu’à partir bordel, non mais ça avait le don de mettre Paris sur de mauvais poil dès le matin. Enfin, cela ne dura pas si longtemps que ça, elle avait l’habitude des chamailleries avec son coloc’ et c’était réciproque, alors bon. Elle prit immédiatement son ordinateur portable, quand celui-ci s’alluma, elle tomba –allait savoir pourquoi- directement sur le site de Hidden Face –mais sii(…)i vous savez, la fille qui n’a rien d’autre à foutre que de se réjouir du bonheur des autres. Oui, on parle bien de la même, oui oui, celle qui écrit des trucs sur vous, que vous haïssez mais dans le fond, elle vous fait tellement de peine que vous en rigolez ! Celle qui est censé vous mater 24h/24, 7j/7. Franchement ça vous ne fait pas plaisir ? NON PARCE QUE MOI J’ADORE QU’ON ME REGARDE. *baf* (faut pas cherchez, ce matin je pars un peu en vrille –enfaite je pars toujours en vrac, ça crains) Enfin bon peu importe, elle avait –enfin- posté son premier article, que Paris attendez avec impatience. Sans vraiment d’étonnement, elle se vue dedans –ben oui, la Hidden machin truc ne se fait pas trop chié, elle prend les scoops que tout le monde sait hein, surtout venant d’une élite, enfin elle n’avait pas trop de mérite. Paris finit de lire le sujet, puis releva la tête, en s’adressant à son colocataire –ben oui toute manière y’avait que lui dans la baraque. — DA(..)AREN TU SAIS CE QU’ON DIT DE NOUS ? QUE JE T’AI MONTRE MES SOUVETEMENTS COQUINS ! Non mais franchement, comme-ci elle apprenait quelque chose là ?! Paris ricana en silence puis referma son ordinateur portable. Quoi ?! Non mais ça ne va pas, elle n’avait absolument pas le temps de lui répondre.

    Aujourd’hui, la jeune femme avait tout un programme –enfin vous allez me dire que son programme était court (oui sur papier) mais en réalité il allait lui prendre toute l’après-midi : glandouille party. Vous connaissez hein ? Euh pardonnez-moi de mon terme, mais si vous ne connaissez pas, vous êtes de petit inculte. Brefons, cela signifiait donc soit plage, soit cinéma. Avec le beau temps qui s’offrait à elle son choix allait être vite fait La nuit dernière, elle avait passé la soirée dans un casino, enfin soirée Las Vegas si vous préférez, à quelques pas de chez elle, une soirée était organisée, et bien sûr, elle n’allait pas louper ça. Bon, comme beaucoup d’autres lendemains matins, elle ne se rappelait pas vraiment de tout, mais parfois il était préférable, parce qu’il y a des choses, qu’il vaut mieux ne pas savoir… surtout pour Paris… Peut-être qu’elle l’apprendrait, le lendemain, le surlendemain ou dans une, voire deux semaines par le blog de Hidden Face.

    Bon ; Paris mit son bikini, l’enfila, elle prit son paréo, une petite robe, son sac avec tous les accessoires pour la playa, est sans oublier ses tongues. Bon, vu le temps, l’eau n’était pas plus haut que dix-huit degrés très certainement, faut pas croire, la jeune femme n’irait certainement pas se baigner… quoi que –non non c’était une blague, pas question ! A peine arrivée, la jeune femme repéra au loin Zadig. Contente de le voir ? Oh que oui, elle allait encore passer une bonne après-midi, à le renvoyer balader, tout comme lui savait si bien fait, et ça commença avec une première réplique… — Oh je ne voudrais pas te dépuceler chéri… Elle continua dans son petit jeu, elle savait pertinemment qu’il n’était plus puceau –enfin à la rigueur elle s’en fichait, mais bon, lui aussi savait très bien qu’elle ne venait pas ici pour baiser avec lui –quoi que… NOON ! — Non, je viens juste ici pour te dire d’enlever tes écrases merdes, à moins que tu comptais aller à la pêche aux moules ?! Paris, finit par arrivée à ces côtés enfin, c’est quoi des écrases merdes ? Des chaussures dépassées de mode, minable, qu’on ose plus sortir même pour aller vider les poubelles *baf*
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